Ma (petite) contribution...
Un "testing" téléphonique a récemment été réalisé auprès de 75 commissariats pour observer les conditions d’accueil et de prise en charge des femmes étrangères victimes de violences.
Cette enquête, effectuée par La Cimade dans le cadre de la campagne «Ni une ni deux» fait apparaitre que dans plus d’un commissariat sur trois, une femme sans-papiers qui voudrait porter plainte contre des violences, risquerait l’expulsion.
En d'autres termes, plus d'un commissariat sur trois ne protège pas les femmes étrangères victimes de violences !
Et puis, si vous n'êtes pas encore inscrits à la "manifestation virtuelle et citoyenne pour exiger une véritable protection des femmes étrangères victimes de violences", c'est ici.
Un "testing" téléphonique a récemment été réalisé auprès de 75 commissariats pour observer les conditions d’accueil et de prise en charge des femmes étrangères victimes de violences.
Cette enquête, effectuée par La Cimade dans le cadre de la campagne «Ni une ni deux» fait apparaitre que dans plus d’un commissariat sur trois, une femme sans-papiers qui voudrait porter plainte contre des violences, risquerait l’expulsion.
En d'autres termes, plus d'un commissariat sur trois ne protège pas les femmes étrangères victimes de violences !
Et puis, si vous n'êtes pas encore inscrits à la "manifestation virtuelle et citoyenne pour exiger une véritable protection des femmes étrangères victimes de violences", c'est ici.
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