C'est le titre d'une nouvelle de Jean Giono, écrite vers 1953.
Un texte superbe et que l'on lit en ne pouvant s'empêcher de penser : "mais c'est évident ! mais voilà un véritable éloge de la vie, tellement rare et précieux en ce XXIe siècle toujours aussi prétentieux..."
Merci beaucoup à Jean-Claude Vitran, co-auteur avec Jean-Pierre Dacheux du blog "résistances et changement" et qui a, sous le titre "La croissance ou la voracité de l'Occident" brillament évoqué cette nouvelle, en indiquant un lien.
Et, surtout, cher lecteur, prends cinq minutes (et fais-les durer...) pour découvrir cette merveille :
QUI PLANTAIT
DES ARBRES
Ancelle (Hautes-Alpes), 2007 - vue depuis le chantier de la nouvelle cabane du berger (C) MK
Une très jolie nouvelle. On m'en avait parlé, je suis heureux d'avoir pu la lire enfin.
Bien à toi.
Rédigé par : Genfi | 12 septembre 2009 à 09:20
Merci pour la découverte. J'ai beaucoup d'admiration pour ceux qui consacrent leur vie à une passion comme le facteur cheval qui a construit son palais petit à petit pierre par pierre, ou encore moins connu Monsieur Roger CONSTANT qui passe sa vie à creuser dans son jardin à Montignac Lascaut pour trouver la vraie entrée de la grotte de lascaut et finit par tomber sur le squelette de l'homme de Neenderthal et puit qui a aussi réintroduit l'ours brun dans le Périgord. voir article (http://regourdou.fr/2.html). Une de mes belles découvertes de vacances périgourdines
Bon dimanche
Rédigé par : Martine | 30 août 2009 à 07:39