C'est le titre d'une nouvelle de Jean Giono, écrite vers 1953.
Un texte superbe et que l'on lit en ne pouvant s'empêcher de penser : "mais c'est évident ! mais voilà un véritable éloge de la vie, tellement rare et précieux en ce XXIe siècle toujours aussi prétentieux..."
Merci beaucoup à Jean-Claude Vitran, co-auteur avec Jean-Pierre Dacheux du blog "résistances et changement" et qui a, sous le titre "La croissance ou la voracité de l'Occident" brillament évoqué cette nouvelle, en indiquant un lien.
Et, surtout, cher lecteur, prends cinq minutes (et fais-les durer...) pour découvrir cette merveille :
QUI PLANTAIT
DES ARBRES
Ancelle (Hautes-Alpes), 2007 - vue depuis le chantier de la nouvelle cabane du berger (C) MK
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