A propos de Cergy-Pontoise (j'y vis), de l'écologie et de la politique (forcément liées) , du droit (ou plutôt de la manière dont le droit reflète nos contradictions), de l'information (ou de la désinformation, d'ailleurs), etc...
Je paye (un peu) pour éviter de vous importuner avec de la publicité.
Une "web-radio" sur Cergy-Pontoise, c'est un moyen supplémentaire de suivre la vie locale. Certes, à partir de sa page d'accueil, on ne "voit" pas immédiatement le lien avec le coin d'ici ; il faut juste se ballader dans la page "podcasts", ça vaut la peine...
Bon, je ne suis pas totalement désinteressé puisque le dernier podcast mis en ligne (le 25 février) est titré "La solidarité aux sans-papiers à Cergy avec la Cimade" où je me trouve devant le micro avec un autre Marc.
C'est sous forme d'une interview à une web-radio qu'avec un autre Marc nous avons essayé de rendre compte d'un engagement en faveur des droits des étrangers sans papiers.
A partir de la participation aux Cercles de silence, qui se tiennent chaque mois à Cergy (le 3e vendredi, de 17h30 à 18h30, au-dessus de la gare RER de Cergy-Préfecture), nous en venons rapidement à parler du travail effectué localement par les bénévoles de la Cimade.
S'il m'était arrivé d'évoquer brièvement cette activité dans ce blog, je n'avais pas encore pris le temps de la décrire plus précisément. CergyVie aura été plus rapide..., c'est ici :
C'était à Mantes, samedi, il s'agissait d'une rencontre de chorales, "Il était une voix 6", la 6e édition de cette manifestation.
J'y ai pris un vrai et grand plaisir (en dépit des temps d'attente, et de la sono, superflue, trop bruyante et mal équilibrée).
Notre chorale, "Musaïques", comprend environ 160 inscrits, nous étions près d'une centaine à Mantes. Nous avons interprété "Ma préférence" (Jean-Loup Dabadie, Julien Clerc), "Tu es mon autre" (Lara Fabian, Rick Allison), "L'assasymphonie" (extrait du Mozart Opéra Rock), ainsi que "Terre" (Gildas Thomas), chanson interprétée en final par l'ensemble des chorales :
Déjà en ligne, l'interprétation de "Terre" par l'ensemble des choristes des différentes chorales participant à la rencontre.
Nous devions être près de 300 sur scène, me cherchez pas, malgré ma chemise rouge pétant, je suis à peu près invisible, caché au milieu des basses.
J'avoue que ce répertoire ne m'est guère familier. La "chanson française", concept un peu étroit, était à mes yeux dominée par les maîtres absolus : Brassens, Brel et Ferré - et aussi, un peu plus tard, en mode mineur toutefois, Nougaro. Et Barbara, bien sûr, au premier plan.
Je ne crois pas que ces auteurs-compositeurs-interprètes aient jamais été dépassés. Mais il serait temps que je regarde (que j'écoute) aussi autre chose - ou plutôt que j'y accorde une attention trop vite détournée par les artifices de mode et la vacuité du propos, quand propos il y a ; le monde ne s'est pas arrêté de tourner après que ces étoiles ont disparu.
Et donc, cette chorale où je suis allé rejoindre Françoise qui y chante depuis plusieurs années, va m'obliger à remettre quelques compteurs à l'heure. Même si, grand débutant (mes notions de solfège datent de mes années lycée) et guère enclin à me fatiguer à mémoriser des textes, disons, pas toujours très clairs, c'est un peu du boulot, à ce stade. La preuve :
Répétition publique (Eragny, novembre 2011, sous prétexte de Téléthon).
Nous démarrions à cette époque l'apprentissage de "Terre", que nous avons chanté samedi à Mantes. (Document extrêmement rare : Françoise et moi apparaissons en public, dans la même activité…)
Il n'empêche : chanter ainsi, ce plaisir de mêler sa voix à celles des autres choristes, de se sentir partie d'un ensemble qui vit au rythme des phrases musicales, est un vrai bonheur.
J'ai aimé cette exposition d'Emmanuelle Villard, jusqu'au 28 mai 2012, à l'Abbaye de Maubuisson. Sous le titre "Artifici finti #2", cinq nouvelles installations utilisent superbement les emplacements que fournit ce site extraordinaire.
C'est gratuit, il faut juste retirer un ticket à l'entrée. Et, vu la qualité de la prestation, je vous recommande vivement de profiter des visites commentées, le samedi à 15h30. Et comme il s'y est dit qu'on pouvait prendre des photos, j'en ai profité :
Les commentaires récents